Citation Le Messie de Haendel – 31 août 2008

« Emerveillement au Festival de musique ancienne »

« Il fut donné à chaque instrument l’heure bleue pour se faire entendre en solo et, moment rare, la voix pure de Lucile Pessey, soprano, apporta émerveillement. A sa voix, figées là depuis des siècles, parmi les gerbes de lys qui apportaient elles aussi une note de pureté, les stautes rayonnaient de bonheur. « Elle a un visage inspiré quand elle chante. Il transparaît tellemnet de choses que l’on communie avec elle  » nous confiera Michel Bruntz, mélomane. « Quel bonheur « , dira Claude Printemps, artiste peintre. L’émotion que l’on peut lire sur le visage de Nicole Rafer, adjointe, se traduit sans un mot… »

Claude Kibler Andreotti – La Marseillaise – 4 septembre 2008