Citation Stabat Mater de Haydn – 15 décembre 2011
« Un moment de grâce. »
La Tribune – 15 décembre 2011
« Un moment de grâce. »
La Tribune – 15 décembre 2011
« Les solistes ont donné le meilleur d’eux-mêmes, dans la difficile alternance du théâtre parlé et des arias chantés. On a particulièrement apprécié les qualités de comédiens de Laurent Arcaro (Don Juan) et Laurence Malherbe (Elvira) ou le beau chant de Lucile Pessey (Anna)… »
« Donna Anna, c’est Lucile Pessey : présence dramatique remarquable, une magnifique voix de soprano lyrique toujours plus riche, superbement menée, compensant et humanisant par d’intelligentes nuances la grandeur héroïque du rôle. »
Bénito Pelegrin – Classiquenews – 31 août 2011
Bénito Pelegrin – Blog – 15 septembre 2011
« Lucile Pessey a prêté sa jolie voix de soprano pure, claire et bien timbrée, à la comtesse Rosina et Susanna de « Le Nozze di Figaro », à Despina de « Cosi fan tutte » et à Donna Anna et Zerlina de « Don Giovanni », trois livrets italiens de Lorenzo da Ponte, accompagnée au piano avec beaucoup de musicalité par Catherine Galland. »
Alain Louis, Blog Sur le Pont d’Avignon, 25 août 2011
« Lucile Pessey joue de son charme, de son abattage, de sa voix de velours, et de ses chapeaux improbables, quand Amandine Habib, ses mains habiles sur le clavier, tente de raisonner tout cela, avec détachement, humour et malice. »
Erik Satie, le site du compositeur, mai 2011
« On y a entendu une soprano talentueuse : Lucile Pessey possède une voix chaleureuse, un timbre égal sur tout le registre, des aigus clairs, une ligne de chant souveraine… elle a conquis le public dans Fauré ou Mozart. »
« Une voix extraordinaire.
L’interprétation de la soprano Lucile Pessey, à la voix remarquable a créé beaucoup d’émotions dans l’auditoire. »
La Tribune – 28 octobre 2010
« La Grande Coquette dévoile la sûreté technique de la soprano, mélodie aux terribles intervalles et un piano sautillant, complice parfait. Le Lazzarone, évocation des oisifs bienheureux de Naples, ne voix égale dans tous les registres. La pianiste énonce la recette du risotto au champagne puis enchaine une Danza diabolique de belle virtuosité. Les airs de la Cenerentola et du Barbier font apprécier la maîtrise de Lucile Pessey dans un feu d’artifice de vocalises. »
« Convaincante Marguerite »
J.M.S. – La Provence – 21 avril 2010
« Nous n’avons pas manqué d’être sensibles à la profondeur des poèmes musicaux empreints de puissance tragique, magistralement servis par l’exécution d’Amandine et amplifiés par la beauté de la voix de Lucile. Complices, toutes deux ont proposé quelques belles pages romantiques. Deux grands talents assortis de jolis sourires printaniers. »
Gilbert Jean- Le Dauphiné Libéré – 23 mars 2010
Timbre fruité et rond, légèrement sensuel, médium charnu, elle charme par une présence immédiate, et une incarnation simple de ces femmes dans des situations bien contrastées, dramatiques ou heureuses, en bonne esthétique baroque. D’entrée, on goûte et savoure la Cantate dite du café de Bach (BWV 211) : dans l’effervescence du continuo, bouillonnant, tourbillonnant, fumant d’une chaude vapeur de petites notes, elle la déguste avec une voix légère, primesautière.
Bénito Pelegrin – Blog , septembre 2009
Cette jeune cantatrice, presque à peine brillamment sortie de ses classes, s’est polie en musique ancienne auprès de Musica Antiqua de Christian Mendoze et a tourné en Europe avec Le Carnaval et la Folie de Destouches, sous la direction d’Hervé Niquet. Elle s’est déjà frottée sur scène à de grandes œuvres et manifeste un sens théâtral réel, sensible ici dans la diversité des affects exprimés par ces héroïnes.
Benito Pelegrin, Classiquenews, septembre 2009