Citation Stabat Mater de Traetta – Vêpres Solennelles d’un Confesseur de Mozart
On s’émerveille en écoutant la soprano Lucile Pessey, qui est triomphale, souple dans les aigus et intense dans la douleur.
On s’émerveille en écoutant la soprano Lucile Pessey, qui est triomphale, souple dans les aigus et intense dans la douleur.
Une soirée toute en rondeur, illuminée par les vocalises coulées de la soprano Lucile Pessey (Exultate Iubilate achevé par un Alleluia jubilatoire).
Gisèle Laval – La Marseillaise du 11 octobre 2016
Mozart et Fauré, frères d’élégance étaient au programme. Bernard Thomas dirige l’Orchestre Régional Avignon-Provence avec énergie, souplesse, maîtrisant les effets d’intensité, les couleurs de chaque pupitre. L’Exultate Iubilate, motet composé à 17 ans, se conclut par le morceau de bravoure qu’est l’Alleluia. La soprano Lucile Pessey, grâce à une parfaite technique, un souffle soutenu, rayonne dans les longues phrases comme dans les acrobatiques vocalises, et le fameux contre-ut est déployé avec une grande aisance.
Yves Bergé – Zibeline – Octobre 2016
Lucile Pessey, irriguée de tendresse et d’émotion, livre de mélancoliques et déchirants classiques de Tosti, « Malia » ou « Non t’amo piu« , embraye avec de redoutables pyrotechnies signées Rossini (Matilda dans Guillaume Tell), moule son séduisant et clair soprano dans la suavité mélodique de grands airs, « Porgi amor » (La Comtesse des Noces de Figaro) ou « Casta Diva » (Norma de Bellini), un sonnet de Pétrarque mis en musique par Liszt et une surprenante mélodie de Luciano Berio « Avendo gran disio » à la beauté classique matinée de touches modernes.
Jacques Freschel, Zibeline « Critiques » du 07/03/16
« Les chanteuses Françoise Atlan et Lucile Pessey, accompagnées par de jeunes mandolinistes issus de la classe de Vincent Beer-Demander au CNRR de Marseille, solistes de l’Académie de Mandoline de Marseille (Jean el Arafi-Recours, Nina Grimaud, Carmen Confalonieri, Bérangère Vallier), de prestigieux musiciens rompus aux traditions musicales du bassin méditerranéen, affichaient un beau «Noël d’Orient». (…) Et c’est un monde de paix qui a résonné, chantant l’harmonie entre les civilisations, les traditions et religions, issu de la bouche vermeille de deux brillantes artistes de notre région… »
« Chantées, les Fables, mises en musique par Caplet, Lecoq ou Aboulker, s’avèrent davantage tragi-comiques : un masque expressif que porte à souhait la soprano Lucile Pessey, aussi à l’aise dans l’ample mélodie lyrique que la farce clownesque. »
Jacques Freschel, Zibeline, 18 juillet 2015
« Lucile Pessey, soprano, assise, mélancolique, sublime d’intériorité dans des berceuses sépharades. Legato, velouté, la voix déroule des arabesques ornées avec l’accompagnement subtil et sensuel de Jean-Michel Robert. (…) Une seconde partie nous emmène en Italie. Debout, Lucile Pessey est reine dans Amarilli, mia bella, petit bijou de Caccini. Souffle, ligne et de beaux graves posés avec délicatesse. Autre moment de grâce : Se dolce il tormento de Monteverdi. »
Yves Bergé, Zibeline, 10 décembre 2014.
« (…) la Bacchiana brasileira N°5, avec un violoncelle ailé en hommage à Bach, longue vocalise avec un da capo bouche fermée enserrant un magnifique et poétique récitatif, une leçon de déclamation lyrique, fut interprétée avec passion par la jeune cantatrice dont le timbre fruité et vibrant, coloré, rendait la saveur et la suavité tropicale et l’élégance classique de cette musique, avec une belle ligne et tenue de souffle. »
Benito Pelegrin, Classiquenews, septembre 2014
« Mais la reine de la soirée était cette soprano pétillante qu’est Lucile Pessey. D’une voix au timbre pur et aux variations souples, avec une articulation claire, elle donne beaucoup de vie à ses interprétations – en l’occurrence des pièces de Bonfa, Lara, Granados, Villa-Lobos (une belle Bacchiana Brasileira n°5, modulée et puissante). Et surtout l’impression qu’elle est heureuse de le faire. »
Gisèle Laval, La Marseillaise, septembre 2014
« Voilà un disque qui fait plaisir : c’est une belle réalisation sur les plans du répertoire et de l’interprétation. Les deux sopranos Catherine Padaut et Lucile Pessey, rompues à la musique ancienne, mixent harmonieusement leur timbre dans les Cantigas et Romances séfarades, des Chansons espagnoles des 16e et 17e siècles ou des Madrigaux et airs d’opéra de Caccini, Cesti, Zanetti et Monteverdi. »
Jacques Freschel – La Marseillaise – 7 septembre 2014
« Formidable présence – et quel timbre ! – de la merveilleuse Lucile PESSEY. »
» Excellente révélation venue de Marseille. »
Lettre de Sète – juin 2014
« Des solistes talentueux : Lucile Pessey, Béatrice Pary, Gédéon Richard et Augustin Laudet. »
La Provence – 22 décembre 2013
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